Sandra Marguerie

Énergéticienne holistique vers votre joie intérieure

Le conte

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Le conte pour réveiller votre imaginaire

Les contes s’adressent à notre imaginaire. Pourquoi raconter des histoires ? Qu’est-ce qu’apportent les contes ?
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Le conte pour réveiller votre imaginaire

Les contes s’adressent à notre imaginaire. Pourquoi raconter des histoires ? Qu’est-ce qu’apportent les contes ?

C’est lors du Festival Mythos à Rennes que j’ai découvert le conte dédié aux adultes. A l’écoute de ces histoires fabuleuses, je me suis sentie nourrie. Elles m’ont aidée à apprivoiser certaines de mes émotions, à regarder la vie sous un autre angle et à grandir. « Les contes, comme le dit si bien Henri Gougaud parlent à nos caves et nos greniers. »

Ces histoires qui guérissent

Certaines histoires poétiques, facétieuses ou fabuleuses font écho à votre propre situation. Elles sèment des graines à l’intérieur de vous. Vous pouvez choisir de les planter dans votre jardin intérieur et les laisser germer.

Les contes avec leur engrais fabuleux nourrissent la terre de votre jardin et vous aident à dégager les mauvaises herbes pour laisser place à un jardin magnifique.

Ecoutez ou lisez des contes sans modération pour rendre plus fertile votre jardin intérieur.

Image avec une citation de Pierre-Olivier Bannwarth
Logo qui représente un livre dans lequel il ya des histoires de conte

Le choix approprié d’un conte pour appréhender votre situation sous un angle constructif

Si votre situation fait écho à un conte que je connais, je vous le transmettrai. Ces histoires pourront bousculer votre schéma de penser ou vous apporter une clé dans votre cheminement personnel. Elles offrent des points de vues différents sur certains aspects de la vie et vous interrogent sur le regard que vous portez sur ce qui nous entourent et sur ce que nous vivons.

Les contes avec leur imaginaire font éclore en vous des solutions auxquelles vous n’auriez même pas pensées. Ils ont un pouvoir créateur en agitant votre imaginaire. Ils vous invitent à vous aventurer sur des sentiers inconnus et expérimenter de nouvelles situations pour vous découvrir davantage.

Regarder des contes
J' ai choisi de vous livrer une sélection de petites histoires facétieuses éloquentes !

Cliquer sur le titre du conte qui vous inspire pour le lire !

Tard dans la nuit, Nasreddine Hodja était dans la rue à tourner en rond sous un lampa­daire.

Son voisin, qui rentrait d’une longue soirée, passa près de lui.

– Que fais-tu, Nasreddine, si tard ?

– J’ai perdu la clé de ma maison.

– Ne t’inquiète pas, je vais t’aider à la retrouver.

Le voisin se mit à chercher avec Nasreddine. Ils regardèrent partout, sous les pierres, sous les feuilles mortes, dans la poussière, mais en vain . Il n’y avait aucune trace de la clé.

– Dis-moi, Nasreddinne, es-tu sûr d’avoir perdu ta clé ici ?

– Non, je l’ai perdue dans l’autre rue, là-bas.

– Mais alors, pourquoi la cherches-tu ici ?

– Parce que là-bas, il fait sombre, alors qu’ici, il y a de la lumière.

En Chine, un porteur d’eau possédait deux grosses cruches, chacune d’elle pendante aux extrémités d’une solide perche qu’il portait sur ses épaules.

L’une des cruches était fêlée, tandis que l’autre était parfaite et livrait toujours une pleine portion d’eau.

À la fin de la longue marche du ruisseau à la maison, la cruche fêlée arrivait toujours à moitié pleine. Tout se passa ainsi, jour après jour, pendant deux années entières où le porteur livrait seulement une cruche et demi d’eau à sa maison.

Évidemment, la cruche qui était sans faille se montrait très fière de son travail parfaitement accompli. Mais la pauvre cruche fêlée était honteuse de son imperfection, et misérable du fait qu’elle ne pouvait accomplir que la moitié de ce qu’elle était supposé produire.

Après ces deux années de ce qu’elle percevait comme étant une faillite totale de sa part , un jour, près du ruisseau, elle s’adressa au porteur d’eau  : « J’ai honte de moi-même, et à cause de cette fêlure à mon côté qui laisse fuir l’eau tout au long du parcours lors de notre retour à votre demeure. »

Le porteur s’adressa à la cruche : « As-tu remarqué qu’il y avait des fleurs seulement que de ton côté du sentier, et non sur le côté de l’autre cruche?
C’est que j’ai toujours été conscient de ta fêlure, et j’ai planté des semences de jolies fleurs seulement de ton côté du sentier, et chaque jour durant notre retour, tu les as arrosées.
Durant ces deux années, j’ai pu cueillir ces jolies fleurs pour décorer notre table. Si tu n’avais pas été comme tu l’es, nous n’aurions jamais eu cette beauté qui a égayé notre maison
».

Au bon vieux temps, le Vent discutait avec le Soleil. Ils s’étaient mis à discuter pour savoir qui était le plus fort. Un jour, le Soleil dit au Vent:

«Mettons-nous à l’épreuve avec l’homme qui marche là-bas et qui porte une cape. Tentons d’enlever sa cape de ses épaules pour savoir lequel de nous deux est le plus fort.»

C’est le Vent qui tenta d’abord sa chance. Il saisit le col de l’homme, il l’arracha, il tira la cape de tous les côtés, mais plus il la tira, plus le pauvre homme s’y enveloppa et ne le laissa pas lui enlever. Après que le Vent se soit épuisé pour rien, alors c’est le Soleil qui se mit à l’oeuvre. Il sourit sur l’homme de plus en plus chaudement. Toujours plus chaudement. Le brave homme se découvrit tout doucement, ensuite il enleva entièrement sa cape. Peu de temps après, il ôta son manteau et même son gilet.

«Tu vois bien que c’est moi qui suis le plus fort!» dit le Soleil au Vent.
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Sandra Marguerie – Accompagnatrice Energéticienne